Investigation into museum attack (Enaya)
@ Ava Aretusi
Investigation into museum attack
Enaya & Ava
C’était partout aux infos ce matin : le musée d’histoire de l’art avait été cambriolé. Le gardien du musée avait appelé la police à 08h54 du matin. La jeune Aretusi qui était arrivé très tôt au post de police, 6h pour être plus précise, ne perdit pas de temps. Elle bu le reste de son café noire d’une traite, attrapa sa veste puis monta dans son véhicule de fonction.
Sur place, elle commença par constater les dégâts et analyser les lieux : des tableaux avaient été volés. Elle interrogea ensuite le gardien. Par chance, le musée n’ouvrait qu’à 10h00, aucun touriste n’était sur place au moment de l’effraction. Le gardien l’informa néanmoins qu’une femme, architecte du patrimoine, était venue plus tôt pour s’occuper d’une pièce du musée. Malheureusement, la pauvre avait été prise en otage par ces malfrats. Ava visionna ensuite les caméras de surveillance. Elle reconnut immédiatement la femme en question : Enaya Sinclair. Grande architecte du patrimoine en effet mais surtout une amie d’Eric. Elle l’avait déjà croisé plusieurs fois en sa compagnie. Elles s’étaient déjà échangés quelques mots. Une fois la police scientifique arrivés sur les lieux, Ava en profita pour aller à l’hôpital. Enaya avait été conduite jusque là-bas après son attaque. Elle était un témoin clé dans l’affaire. Les hommes étaient masqués sur la caméra de surveillance, mais peut-être avait-elle vu ou entendu des choses qui pourrait l’aider au sujet de cette enquête. Puis, elle tenait également à savoir comment elle allait. Elle avait quand même été agressé, c’était quelque chose qui pouvait être traumatisant. D’ailleurs, elle envoya un petit message à Éric pour l’informer de la situation, au cas où il ne serait pas au courant.
Arrivée à l’hôpital, Ava se présenta a l’accueil, montrant son badge de lieutenant. « Je suis le lieutenant Aretusi. J’aimerai parler à mademoiselle Sinclair » l’infirmière à l’accueil lui indiqua son numéro de chambre : 111. Ava la remercia et engagea le pas jusqu’à la chambre d’Enaya. Elle toqua à la porte et attendu son approbation pour l’ouvrir. La brune entra alors dans la chambre et lui offrit un petit sourire réconfortant. « Bonjour Enaya. Comment allez-vous ? » demanda t-elle doucement. Elle ne voulait pas la brusquer. Elle se dirigea à son chevet pour analyser ses blessures puis poursuivit. « Je suis désolée pour ce qu’il s’est passé. J’ai été prévenu dans la matinée ». Elle était peut être ici en tant que lieutenant, mais Enaya était aussi une amie d’Éric. De plus, elle la connaissait et avait du respect pour elle et son travail. Ava faisait toujours attention à ne pas être trop brusque quand elle interrogeait les victimes. Même si parfois, son côté dur pouvait ressortir. « Si vous êtes d’accord, j’aimerai vous poser quelques questions » dit-elle en sortant son carnet de note.
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Enaya & Ava
Elle n’avait pas l’air bien, même si elle prétendait le contraire. Elle pouvait l’entendre dans le son de sa voix. Ava allait devoir y aller doucement avec elle. La brune semblait encore traumatisée par ce qu’il s’était passé et c’était tout à fait compréhensible. Ava s’approcha, analysant la jeune femme. C’était toujours délicat d’interroger les victimes. Il fallait faire preuve de tact et de bienveillance. D’autant plus quand elle connaissait la victime et qu’ils avaient un ami commun. « Je comprends. Ce genre d’évènement est souvent traumatisant. Le principal, c’est que vous n’ayez rien » du moins en apparence. Car Ava se doute qu’intérieurement, le mal est là. Mais au moins, elle est toujours en vie. Il allait lui falloir du temps pour s’en remettre, Ava veillerait à prendre des nouvelles de la brune. Pourquoi ne pas aller boire un café dans un contexte plus léger la prochaine fois ? Après un tel évènement, Enaya allait devoir être bien entouré. D’ailleurs, elle avait envoyé un message à Eric pour lui dire. Qu’il sache et la soutienne. « Je vous promets de tout mettre en œuvre pour retrouver vos agresseurs et les mettre derrière les barreaux » affirme Ava avec détermination et conviction. Même si pour ça elle devait passer de nouvelles nuits blanches. C’était son quotidien, son boulot, sa vocation. Elle était animée par le devoir, et elle comptait bien l’accomplir. Peut-être qu’ainsi, Enaya aurait l’esprit un peu plus tranquille en sachant ses agresseurs en prison. Ava était une forte tête, elle ne lâchait jamais l’affaire.
Pour le moment, elle n’avait pas beaucoup d’indices mise à part les caméras de surveillance et Enaya. Malheureusement, ils étaient masqués sur les caméras. Elle devait encore obtenir le rapport de la police scientifique dont les empruntes. Peut-être aurait-elle plus de chance de ce côté-là. Elle allait également s’intéresser aux caméras de la ville, notamment des rues aux alentours. Peut-être y découvrirait-elle d’autres indices. En attendant, elle espérait qu’Enaya puisse l’aiguiller et l’aider en lui fournissant quelques informations. Elle avait été otage, peut-être avait-elle entendu ou vu quelque chose ? Malheureusement, la brune qui est encore sous le choc semble vouloir dire qu’elle n’a rien entendu de suspect. Elle commence à paniquer, Ava pose une main bienveillante sur son épaule pour tenter de la calmer « Ce n’est pas grave. Respirez un bon coup, prenez votre temps ». La lieutenant ne voulait pas la presser, ni la traumatiser davantage. Bien qu’elle doit obtenir des informations, elle essai de ne pas être trop direct. Elle attend donc un peu avant de reprendre « Se sont-ils appelés par leur nom ? Ou par un nom de code ? J’aimerai que vous essayez de vous souvenir de ce qu’ils ont pu dire » elle ne voulait pas la brusquer, cependant, Ava faisait son boulot. Et interroger Enaya, était son job. « Quand vous serez prête, je souhaiterai également que vous me racontiez comment tout est arrivé et ce qu’il s’est passé dans les détails ». Ava avait vu les caméras de surveillance, mais elle souhaitait qu’Enaya lui raconte sa version. Peut être que grâce au point de vue de la victime, elle parviendrait à déceler des choses plus ou moins importantes. Parfois, les plus petits détails aussi minimes soient-ils avaient leur importance. C’est pour ca qu’elle devait tout savoir de A à Z.
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Enaya & Ava
En effet, ce n’était pas des débutants. Ils connaissaient les horaires d’ouvertures du musée, avaient pris garde à se masquer et à ne pas se nommer entre eux. Cela rendait la tâche difficile, certes, mais ça lui donnait un début de piste. Ava pourrait consulter la liste des criminels et des voleurs de la région. Peut-être seraient-ils déjà référencés dedans ? Il faudrait qu’elle identifie leur mode opératoire pour tenter de faire des rapprochements avec d’ultérieur antécédent. Cela pourrait lui donner davantage d’indice en rassemblant plusieurs enquêtes. C’est pour ça qu’elle lui demande de lui raconter en détail ce qu’il s’est passé. Elle doit comprendre comment ils ont procédé. Elle l’écoute donc attentivement, sans l’interrompre, examinant chacune de ses paroles avec attention. Enaya fronce les sourcils. Les cambrioleurs avaient remarqué Enaya avant que celle-ci ne se rende compte de leur présence. Ils auraient très bien pu faire demi-tour, pourtant, ils étaient allés jusqu’au bout. Cela prouve encore une fois qu’ils n’étaient pas à leur premier coup d’essai. Des amateurs auraient certainement paniqué en voyant quelqu’un non prévu au programme. Ces deux-là n’avaient pas hésité à l’agresser. C’est pour cela qu’Ava pense qu’ils sont bien plus dangereux que ce qu’on pourrait penser. Ce n’était pas des simples « voleurs », ils s’en étaient pris physiquement à Enaya. Cela voulait déjà dire beaucoup sur leur comportement. Ils avaient un but bien précis dans ce musé. D’ailleurs, Enaya confirme ses doutes. Ils cherchaient des pièces précises, ils ne prenaient pas au hasard. Plusieurs tableaux avaient été volés, il allait falloir qu’elle s’attarde plus en détail sur ces fameux tableaux afin de comprendre pourquoi ils les avaient ciblés eux en particulier. Après tout, ils auraient pu prendre tout ce qui leur venait sous la main dans un temps impartie et s’enfuir. Pourtant, ils avaient sélectionné des tableaux bien précis. Ce genre d’action lui faisait penser à des organisations de trafic d’œuvres d’art. Ou un commanditaire riche qui leur aurait demandé de dérober certains tableaux en particulier ? Il fallait envisager toutes les possibilités. En tout cas, la théorie de simple cambrioleur était à exclure après ce qu’elle venait d’apprendre. C’était bien plus que ça, une affaire beaucoup plus importante se cachait là-dessous, elle en était persuadée.
Ava continue d’écouter la jeune femme, elle est désolée pour elle qu’elle ait eu à subir toute cette violence. Malheureusement, ça confirme ce qu’elle pensait. Elle peut sentir la détresse dans la voix de la jeune femme, une larme vient même couler sur sa joue. Ce n’est jamais facile d’interroger les victimes traumatisées. C’est pour ça qu’Ava doit garder la tête sur les épaules. Soudain, une information primordiale tombe. Un tatouage. Ce n’est pas anodin, au contraire ça pourrait énormément fait avancer l’enquête. Elle pourrait déjà le comparer à la base de données de la police, de prime, il serait beaucoup plus reconnaissable. Ava pose une main bienveillante sur l’épaule d’Enaya une fois que celle-ci ait fini son discours. « C’est fini maintenant » la rassure-t-elle, la voyant encore terrorisé par cette histoire. En même temps, c’est compréhensible, personne n’est prêt à vivre ce genre de chose. « Du moment où ils sont entrés dans le bâtiment jusqu'à ce qu'ils en sortent, il s’est écoulé vingt minutes ». Elle avait pu faire le calcul grâce aux caméras de surveillance. C’est pour ça qu’elle n’avait pas pu arriver à temps. Elle avait été prévenue trop tard et quand elle s’était mise en route, ils s’étaient déjà enfuis. Ils avaient tout calculé. Mais elle peut comprendre que ce supplice ait parut des heures à Enaya. Seulement vingt petites minutes suffisaient pour bouleverser la vie de quelqu’un. C’était si triste. Cependant, Ava en avait l’habitude. Ca faisait partie de son boulot. Elle ne pouvait pas laisser sa sensibilité prendre le dessus, pour cette raison, elle pouvait paraitre froide parfois. Mais c’était le job qui voulait ça. Doucement, elle s’approche de la brune pour lui tendre son carnet et son stylo. « Pourriez-vous me dessiner le tatouage que vous avez vu. Même s’il n’est qu’approximatif, ça m’aiderait beaucoup ». C’était une piste concrète et elle devait commencer par là. Puis elle reprend. « Je vais bientôt recevoir un rapport sur les tableaux volés. Vous qui êtes architecte du patrimoine et qui connaissez bien ce musée, vous pourriez peut-être m’en dire plus à leur sujet ? Je pense que cela pourrait nous donner davantage de pistes. Je dois comprendre pourquoi les criminels ont ciblés ces œuvres en particulier ». Il allait falloir aussi qu’elle consulte la base de donnée, qu’elle revisionne les vidéos de surveillance. Elle n’avait vu aucun signe de tatouage sur les caméras, surement l’angle de vue ne l’avait pas permis. Seul Enaya connaissait donc à quoi il ressemblait. « Quand vous serez rétabli, passez me voir au post, je vous montrerai les fichies » elle lui en demandait peut-être beaucoup. Enaya devait se reposer. « En attendant, avez-vous remarqué autre chose ? » elle demande au cas où, bien qu'elle se doute qu'Enaya lui ait dit tout ce qu'elle devait savoir. Parfois, la mémoire revenait petit à petit. Pour ça, Ava comptait bien revenir la voir régulièrement au cas où quelque chose lui revenait entre temps. Quoi qu'il en soit, elle avait des débuts de pistes à creuser. Enaya l'avait bien aidé.
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@ Enaya Sinclair
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@ Ava Aretusi
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Enaya & Ava
Oui, c’est passé très vite. Trop vite pour qu’elle puisse les appréhender à temps. Une autre preuve qu’ils savaient très bien ce qu’ils faisaient. Ils avaient tout calculé et étaient bien préparés. Du moins, tout sauf Enaya. Elle, ils ne l’avaient pas prévus dans l’équation. C’était leur seule faute, une faute qui pourrait leur coûter très cher. C’était triste pour la jeune femme. Elle était au mauvais endroit, au mauvais moment. Néanmoins, il y avait quand même un avantage dans cette tragédie, Enaya pouvait les aider à identifier les cambrioleurs. « Oui. Visiblement, ils étaient bien préparés. Ils sont partis avant que nous n’arrivions sur les lieux ». Cela s’était joué de peu. Quelques minutes plus tard et Ava aurait pu leur mettre le grappin dessus. Quoi qu’il en soit, elle ne lâcherait pas l’affaire. Tout d’abord car la lieutenant a pour coutume de toujours mener à bien ses enquêtes mais aussi pour Enaya. La pauvre avait été complètement traumatisée et elle méritait qu’on lui rende justice. D’autant plus que savoir ses agresseurs dans la nature devait être angoissant pour elle. De ce fait, Ava ne laisse rien au hasard. Elle la bombarde de questions et s’attarde sur le moindre détail. Tout élément est bon à prendre. D’ailleurs, Enaya vient de lui en donner un crucial : un tatouage. Ava lui demande donc de le dessiner sur son carnet. Alors que la jeune architecte dessine, la Aretusi ne peut s’empêcher de remarquer qu’elle tremble. Quand celle-ci a finit, Ava reprend son carnet et lui offre un hochement de tête. « C’est parfait, merci. Ça va beaucoup nous aider ». C’est sûrement l’indice le plus fort qu’elle détient et elle ne compte pas lâcher cette piste.
Ava lui parle ensuite des tableaux. Elle écoute l’experte attentivement. Effectivement, ces derniers valent une fortune. Pourtant, quelque chose cloche dans cette histoire et chiffonne la lieutenant. « Pourtant, ils semblaient viser des tableaux bien précis. Comme vous l’avez dit, ils n’étaient pas là par hasard. Qu’est-ce que ceux-ci avaient de différents des autres ? » cette question elle se la pose aussi à elle-même. Ses méninges fonctionnent à tout allure. Il faut qu’elle tire ça au clair, ça l’aidera sûrement à faire avancer l’enquête. « Je vous enverrai la liste dès que je l’aurais reçue ». Elle lui propose ensuite de passer la voir au poste. Ce sera plus simple pour se pencher là-dessus qu’a l’hôpital. Et puis, Enaya a besoin de reprendre des forces. Ava peut bien attendre un jour ou deux. Elle se penchera sur ses autres pistes en attendant. Elle a de quoi faire. Soudain, la machine d’Enaya se met à biper follement. La lieutenant la fixe, une mine inquiète « Tout va bien ? » questionne t-elle. La pauvre, elle a été pas mal secouée aujourd’hui. Cependant, Ava n’a pas encore fini. Encore quelques questions et elle la laisserait se reposer. Quand elle lui demande s’il y a autre chose, un nouveau détail s’ajoute à la liste. Un autre détail physique qui pourrait se relever très important. Ava s’empresse de le noter sur son carnet : tatouage ou grain de beauté sous l’œil droit. Enaya lui annonce que c’est la seule chose dont elle se souvient. Malgré tout, la jeune femme l’a énormément aidé avec tout ça. « C’est déjà très bien. Grâce à vous, nous avons plusieurs pistes à étudier » dit Ava en refermant son carnet. Elle n’allait pas l’embêter avec plus de questions pour le moment. Elle avait ce qu’il faut. Enaya l’interroge ensuite. Est-elle en danger ? Elle craint pour sa vie et c’est compréhensible. Tout ça semble énormément l’angoisser. De ce fait, Ava tient à la rassurer. « Ne vous inquiétez pas, je ne laisserai rien vous arriver. Je vais vous assigner une protection rapprochée le temps qu’on retrouve les coupables » affirme t-elle. A la seconde où elle quitterait l’hôpital, elle enverrait plusieurs membres de son équipe la surveiller afin que rien ne lui arrive. Bien qu’elle doute que les coupables soient assez stupide pour frapper de nouveau aussi tôt. On est jamais trop prudent. Une chose est sure, elle prenait sa protection très à coeur. Après tout, c’était une amie d’Eric et un témoin clé dans cette affaire. Ava attrape ensuite un petit bout de papier où elle vient griffonner son numéro de téléphone. Elle lui tend. « Tenez, c’est mon numéro personnel. N’hésitez pas à m’appeler de jour comme de nuit en cas de problème ». Elle répondra présente à la première sonnerie. Ava n’est pas devenue flic pour rien. Elle tient à aider les gens et il s’avère qu’à partir d’aujourd’hui, Enaya est sous sa protection. « Tout ira bien Enaya, je vous le promets. Vous avez été très courageuse, vous pouvez être fière de vous » dit l’Aretusi en posant une main réconfortante sur son épaule.
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@ Enaya Sinclair
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@ Ava Aretusi
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Enaya & Ava
Ava observa Enaya avec une certaine empathie, comprenant les marques physiques et psychologiques laissées par l'attaque brutale au musée. Elle était consciente que la vie d'Enaya avait pris un tournant inattendu, une descente rapide dans un cauchemar qu'elle n'aurait jamais imaginé. Les paroles de la jeune femme résonnaient dans l'esprit d'Ava, faisant écho à la dure réalité de la situation. Enaya tenta de dissimuler sa douleur, mais ses gestes trahissaient une certaine gêne physique. La lieutenante ne pouvait qu'imaginer la détresse intérieure qui devait l'envahir, mais elle admirait la volonté d'Enaya de rester présente, de contribuer à l'enquête malgré ses propres tourments.
Ava prit le croquis du tatouage, le regardant avec attention et exprima sa gratitude, reconnaissant l'effort d'Enaya dans une situation difficile. La jeune architecte, cependant, ne semblait pas satisfaite de ses propres capacités. Enaya s'excusa de ne pas pouvoir faire mieux, mais Ava secoua légèrement la tête. Enaya se dévalorisait, ne réalisant peut-être pas à quel point son témoignage était crucial pour l'enquête. « Vous avez déjà fait beaucoup, vous n’avez pas à vous excuser Nous ferons tout notre possible pour résoudre cette affaire rapidement », assura Ava, voulant apporter ne serait-ce qu'une lueur d'espoir à la jeune femme.
Enaya lui suggéra ensuite un autre angle d’attaque et Ava hocha la tête « Oui c’est possible. Ca expliquerait la cible précise de certains tableaux. Je vais creuser ce sujet » puis elle ajouta « Je vous l’enverrai très prochainement. Quand vous serez rétabli, passez me voir au post ». Après tout, de l’aide était la bienvenue bien qu’Ava avait de quoi s’occuper en attendant. Elle avait plusieurs pistes à exploiter dont celle du tatouage. Elle commencerait par le rechercher dans la base de données de la police. Avec un peu de chance, celui-ci avait peut-être déjà un casier judiciaire.
Ava proposa ensuite une protection rapprochée à Enaya. Elle était un témoin précieux et une amie d’Eric, pas question de prendre de risque. D’autant plus que cela pourrait peut être rassurer la jeune femme traumatisé de savoir qu’on veillait sur elle. Ava prenait ce rôle à cœur, elle avait cette responsabilité sur ses épaules, s'engageant à préserver la sécurité d'Enaya jusqu'à ce que justice soit rendue.
Ava tendit ensuite son numéro de téléphone à Enaya qui ne souhaitait pas en abuser. Elle semblait hésitante à utiliser ce lien personnel. Ava lui adressa un regard compréhensif. « J’insiste. N'hésitez pas, Enaya. Je tiens à vous aider, c’est moi qui vous le propose » dit-t-elle. Ava lui assura ensuite que tout irait bien, elle s’occuperait de tout. Enaya avait été très courageuse jusqu’ici et elle lui souligna. « Trouver le courage est déjà un immense pas,. Vous avez fait preuve d'une grande force ». Elle s’interrogea quand Enaya évoqua le fait que ce n’était pas la première fois. Bien que curieuse, Ava ne devait pas franchir la limite des questions trop personnel. Elle était en tenue de fonction et au travail. Si Enaya souhaitait lui en parler, elle l’écouterait avec plaisir mais elle ne pouvait pas l’inciter à l'inciter à lui en dire davantage en dehors de l’enquête pour sa part. Ce serait mal venu. « Vous êtes une battante, ça se voit. Je ne doute pas que vous trouverez la force de surmonter tout ça » dit-elle en lui témoignant son soutien.
Quand Enaya lui demanda conseil, Ava prit un instant pour réfléchir, choisissant ses mots avec soin. « Vivre sans peur après une telle expérience n'est pas facile, c’est un processus de longue haleine. Il n'y a pas de solution universelle. Prenez le temps nécessaire pour guérir. Entourez-vous de personnes de confiance, partagez vos sentiments, et n'hésitez pas à demander de l'aide si nécessaire. Si vous trouvez des activités qui vous apportent du réconfort, intégrez-les à votre quotidien et consacrez-y du temps ». Enaya exprima ensuite sa décision de limiter son travail en dehors des heures de bureau. Ava comprenait cette mesure de protection personnelle et hocha la tête. « C'est une sage décision. Assurez-vous d'avoir un environnement sûr qui vous permettra d’avancer sans crainte. Vous pourriez aussi consulter un professionnel pour vous aider à surmonter le traumatisme. Mais surtout n’oubliez pas, vous n'êtes pas seule ». Elle posa sa main sur l'épaule d'Enaya, transmettant un soutien réconfortant. Ava reconnaissait la force dont Enaya avait fait preuve ici. L'enquête continuait, mais Ava était déterminée à assurer la sécurité d'Enaya autant que possible et à lui offrir une amitié solide dans ces temps difficiles.
Ava prit le croquis du tatouage, le regardant avec attention et exprima sa gratitude, reconnaissant l'effort d'Enaya dans une situation difficile. La jeune architecte, cependant, ne semblait pas satisfaite de ses propres capacités. Enaya s'excusa de ne pas pouvoir faire mieux, mais Ava secoua légèrement la tête. Enaya se dévalorisait, ne réalisant peut-être pas à quel point son témoignage était crucial pour l'enquête. « Vous avez déjà fait beaucoup, vous n’avez pas à vous excuser Nous ferons tout notre possible pour résoudre cette affaire rapidement », assura Ava, voulant apporter ne serait-ce qu'une lueur d'espoir à la jeune femme.
Enaya lui suggéra ensuite un autre angle d’attaque et Ava hocha la tête « Oui c’est possible. Ca expliquerait la cible précise de certains tableaux. Je vais creuser ce sujet » puis elle ajouta « Je vous l’enverrai très prochainement. Quand vous serez rétabli, passez me voir au post ». Après tout, de l’aide était la bienvenue bien qu’Ava avait de quoi s’occuper en attendant. Elle avait plusieurs pistes à exploiter dont celle du tatouage. Elle commencerait par le rechercher dans la base de données de la police. Avec un peu de chance, celui-ci avait peut-être déjà un casier judiciaire.
Ava proposa ensuite une protection rapprochée à Enaya. Elle était un témoin précieux et une amie d’Eric, pas question de prendre de risque. D’autant plus que cela pourrait peut être rassurer la jeune femme traumatisé de savoir qu’on veillait sur elle. Ava prenait ce rôle à cœur, elle avait cette responsabilité sur ses épaules, s'engageant à préserver la sécurité d'Enaya jusqu'à ce que justice soit rendue.
Ava tendit ensuite son numéro de téléphone à Enaya qui ne souhaitait pas en abuser. Elle semblait hésitante à utiliser ce lien personnel. Ava lui adressa un regard compréhensif. « J’insiste. N'hésitez pas, Enaya. Je tiens à vous aider, c’est moi qui vous le propose » dit-t-elle. Ava lui assura ensuite que tout irait bien, elle s’occuperait de tout. Enaya avait été très courageuse jusqu’ici et elle lui souligna. « Trouver le courage est déjà un immense pas,. Vous avez fait preuve d'une grande force ». Elle s’interrogea quand Enaya évoqua le fait que ce n’était pas la première fois. Bien que curieuse, Ava ne devait pas franchir la limite des questions trop personnel. Elle était en tenue de fonction et au travail. Si Enaya souhaitait lui en parler, elle l’écouterait avec plaisir mais elle ne pouvait pas l’inciter à l'inciter à lui en dire davantage en dehors de l’enquête pour sa part. Ce serait mal venu. « Vous êtes une battante, ça se voit. Je ne doute pas que vous trouverez la force de surmonter tout ça » dit-elle en lui témoignant son soutien.
Quand Enaya lui demanda conseil, Ava prit un instant pour réfléchir, choisissant ses mots avec soin. « Vivre sans peur après une telle expérience n'est pas facile, c’est un processus de longue haleine. Il n'y a pas de solution universelle. Prenez le temps nécessaire pour guérir. Entourez-vous de personnes de confiance, partagez vos sentiments, et n'hésitez pas à demander de l'aide si nécessaire. Si vous trouvez des activités qui vous apportent du réconfort, intégrez-les à votre quotidien et consacrez-y du temps ». Enaya exprima ensuite sa décision de limiter son travail en dehors des heures de bureau. Ava comprenait cette mesure de protection personnelle et hocha la tête. « C'est une sage décision. Assurez-vous d'avoir un environnement sûr qui vous permettra d’avancer sans crainte. Vous pourriez aussi consulter un professionnel pour vous aider à surmonter le traumatisme. Mais surtout n’oubliez pas, vous n'êtes pas seule ». Elle posa sa main sur l'épaule d'Enaya, transmettant un soutien réconfortant. Ava reconnaissait la force dont Enaya avait fait preuve ici. L'enquête continuait, mais Ava était déterminée à assurer la sécurité d'Enaya autant que possible et à lui offrir une amitié solide dans ces temps difficiles.
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